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Danse des Corbeaux

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Danse des Corbeaux Empty Danse des Corbeaux

Message par Zeit Dim 10 Aoû - 17:13

Danse des Corbeaux


« Traitre autrui comme tu voudrais être traité et ... fait attention aux oiseaux. Ces bêtes là, j'les sens pas moi, avec leurs p'tits yeux noirs qui te guettent et leurs plumes fantaisies. »
    Ton chat
    _________


    ∾ Nom

      Danse des Corbeaux


    ∾Sexe

      Masculin ♂


    ∾Âge

      6 saisons et 2 lunes


    ∾ Histoire

      Notre mère nous parlait souvent de cette Légende. Celle des Colonies, composées de chats que notre père lui racontait sans cesse. Depuis notre plus tendre enfance, ma mère nous la répétait, à moi et à ma sœur. Cette légende prenait dans sa parole une allure si réelle que s'en était effrayant. Les combats dont elle nous parlait résonnant dans nos oreilles nous tenait encore plus attentif de son discours. Les aventures de ces chats imaginaires remplissaient la vie de ma mère, elle n'avait plus que ces histoires en tête et cela m'en désolait. Chaque jour, depuis ma naissance, Runith ressassait, encore et encore, la force, la bonté et le courage de ces étrangers qui lui étaient comme des frères. Il semblait qu'en nous en parlant, elle pouvait traverser la porte invisible qui la séparait de ce monde qu'elle aimait tellement.
      C'est ainsi qu'elle nous appris les Lois Sacrées, les codes d'honneur du chat le plus loyal qui puisse être. Je gagna donc la politesse et les respects des chats de Légende et j'appris que j'avais reçu mon "nom de guerrier" à la naissance. Je me nommais Danse des Corbeaux, et ma sœur Envol des Chouettes, en hommage à son pelage brun moucheté. Nous ressemblions fortement à notre père, un vieux matou se faisant appeler Hurlement des Branches. De ce que je sais, il disait à ma mère qu'il était originaire de ces fameuses colonies. Ils passaient tout deux de nombreuses heures en haut des montagnes où nous vivions, elle en l'écoutant et lui en soufflant ses péripéties. Je n'y ai jamais cru, car, comme me l'avait appris les Lois Sacrées, un chat n'abandonne jamais sa Colonie car c'est sa seule Patrie. Ce chat était sorti de nulle part, après pris possession du cœur de ma mère et était reparti comme en voleur en lui laissant dans les pattes des rêves qu'elle n'atteindrait jamais, mais surtout, deux chatons en bas-âges. Il ne ressemblait en aucuns points aux chats légendaires, mais je n'ai jamais rien dit à ce propos devant ma mère, par peur de la blesser. Elle y croyait tellement à ses futilités. Elle s'était mise à croire aux Astres, aux ancêtres disparus depuis des millénaires qui veillaient sur nous du haut des Cieux. Ma sœur y a cru aussi, mais pas moi. Avec t-elles le besoin de se cacher dans une croyance ? Ne pouvaient-elles pas vivre en croyant juste et simplement en elles ? Ne partageant pas leur opinion je respecta tout de même leur choix et les accompagnait durant leurs veillées et autres actions respectueuses envers leurs nouveaux dieux.

      Nous vivions dans les Montagnes du Nord. C'est ainsi que désigna mon père l'endroit où nous habitions car il disait venir du Sud. Mais pour nous, c'était tout simplement notre Maison, nous n'avions pas besoin de la nommer. Il s'agissait de grands monts neigeux où le vent soufflait doucement. Nos pelages étaient assez épais pour ne jamais ressentir le froid. Ici, l'on chassait les petits mulots et autres campagnols des neiges qui s'abritaient entre les roches. Mais notre principale nourriture restait l'Aigle. Cet oiseau majestueux était un animal qui vivait dans les sommets, et bien que méfiant envers ces bestioles à plumes, j'adorais chasser cet animal, c'était le seul endroit où j'excellais. Je ne suis pas très vif, j'ai un odorat très mal développé et un sens de l'orientation pitoyable. Seuls mes yeux étant habitués aux bourrasques de vents et les bruits des serres grinçant sur la pierre étaient mes alliés. Mais j'ai un atout; ma détente. Mes pattes poussent fortement le sol, et rattrape mon manque de réaction en m'élevant en hauteur. Frissons, à chaque saut, c'est comme si le vent s'arrêtait et passait la boucle au ralenti. Mes épaules roulent sous le pelage en remontant le long de mon ventre pour s'étendre vers l'avant et s'enfoncer dans la chair du piaf qui pousse un cri en essayant de s'échapper dans les airs. Tout en l'attirant contre moi, nous tombons sur le sol, mes crocs plantés le plus rapidement possible dans sa gorge, attendant son agonie. Je remercia la Terre et le Ciel pour cette proie qui n'aura pas vécu en vain, l'attrapa et me retourna. Nous pourrions manger pour deux jours à venir.

      ***

      Elle ne rentrait pas. Je tournais en rond, en grognant, elle ne rentrait pas ! Ma mère me regardait, couchée sur la pierre froide de notre tanière. Il s'agissait d'un coin entre les pierres pouvant laisser passer deux gros chiens côte à côte. D'ici, on pouvait voir l'extérieur; une tempête de neige faisait rage. Et moi, je m'impatientais, voilà deux bonnes heures qu'Envol était partie sans revenir. Ma mère, qui se faisait de plus en plus âgée ne chassait plus que les rongeurs. Un air tranquille, presque endormi était placé sur sa tête. Être aussi détendue alors que sa fille pourrait être coincée sous une couche de glace ne lui effleure même pas l'esprit ? Ses yeux s'ouvrirent, elle avait beau vieillir, ils reflétaient toujours son esprit vif. Elle répondit à ma pensée par magie ou tout simplement en sentant mon regard insistant.

      « Les Astres veillent sur elle, elle ne craint rien ... Danse des Corbeaux, ne voudrais-tu pas me masser le ventre ? J'ai un peu mal. » miaula t-elle doucement

      En m'approchant -j'avais décidé de laisser encore un peu de temps à ma sœur, cette dernière c'était peut-être tout simplement abritée quand elle avait aperçue la tempête qui arrivait-, je grogna;

      « - Ne veux-tu pas tout simplement m'appeler Corbeau ?
      - Ce nom représente ton appartenance aux Colonies, sache le prononcer en entier. »
      elle parut indignée, puis une mine tendre traversa son visage alors qu'elle me lécha l'oreille affectueusement. Je m'appliqua alors à ma tache, pétrissant avec attention le ventre de Runith.

      ***

      Mes pattes s'enfonçaient dans la neige, laissant des empreintes qui se faisaient vite recouvrir, les bourrasques continuaient de souffler, mais de façon douce et régulière. L'on pouvait donc dire que la tempête s'était apaisée et j'étais donc sorti précipitamment chercher ma sœur. Ma mère avait remué les moustaches, amusée, en me répétant encore que les prières envers les Astres étaient plus forts que n'importe danger, et qu'Envol était une grande fille qui avait le droit de flâner parfois. Juste un tout petit peu. Mais que faire quand on y croyait pas à ces histoires d'âmes qui surveillent les vivants ? D'étoiles qui indiquent le chemin et de rêves illuminatifs ? Quand il arrivait quelque chose, on ne pouvait compter que sur soit. Je sauta sur un rocher et leva la truffe, bien que ce fut inutile. Je m'y attendais, et je m'enfonça donc au plus profonds des montagnes, là où je trouve les aigles. Je commençais à vraiment m'inquiéter, et mes tempes battaient le rythme au niveau de mes oreilles. Je hurle le nom de ma sœur dans le vent, ne recevant que des échos étranglés. J'avais espéré entendre une réponse positive de ma sœur mais rien n'indiquait qu'elle était venue par ici. Je continua, grimpa, appela, continua, sauta, traversa, et me perdit tout bonnement, mais cela importait peu. J'étais mort de peur, et pour la première fois de ma j'espéra que les Astres entendraient mes supplications. Où est-elle ? Prenez soin d'elle. Je veux la revoir ! Est-elle saine et sauve ? Dieux si vous m'entendez, aidez moi ! Dieux, faite ça, faite ça pour celle qui vous chérie ! Essoufflé, de m'appuya sur une roche, le vent ici était bien moins fort car je me trouvais dans un ravin entre deux hauteur.

      Et puis je l'ai vu. J'ai vu son pelage moucheté de brun .. et de rouge. Je l'ai vu étalé sur le sol, accompagné de cet oiseau du malheur, l'aigle. Ses flancs se soulevaient difficilement. je ne pu m'empêcher de pousser un cri et de me jeter vers elle, tombant, me relevant et dérapa devant ma très chère sœur;

      « Envol ! Envol ! .. Envol réponds moi ! »

      Ma voix grave s'était changée en plainte désespérée. Je releva la tête. Par une telle tempête, elle avait du sauter sur sa proie sans voir où elle retomberait .. Cette idiote ! Il y avait toute la nourriture qu'il fallait à la tanière ! Je la poussa du museau et lécha ses plaies. Elle semblait désharmoniée, et son corps n'était qu'un pantin désarticulé, j'appuya mon front contre son ventre en suppliant quelle me réponde. Les blessures étaient synonymes de mort dans les montagnes. Je gémissais pitoyablement des mots qui devaient ou auraient du former des phrases. Elle frémit puis déglutit. Je releva ma tête et mes yeux pleins d'espoir s'attardèrent sur cette sale blessure au niveau de son front. C'était grave. Pire que grave. Très grave. Ses yeux fragiles s'ouvrirent avec peine sur moi et un soupire lui échappa;

      « ... Tu m'as fait att-..endre ..» Elle toussa « ... Co..Corbac ..»

      J'ouvris un peu plus les yeux sous la surprise, et cette effort coûta à ma sœur de souffrir encore plus en toussant, crachant son sang rouge, si rouge, trop rouge ! La carcasse du piaf démoniaque-qui reposait à ses côtés- avait du aider à amortir la chute, lui lassant des heures d'agonies dans le froid, mais certainement pas une chance de survie. Je continua à lui parler, à lui murmurer des choses, je la frotta du bout du museau et lécha encore une fois ses plaies suintantes, je n'osais pas regarder les étranges arcs que formaient ses pattes. Elle me faisait tellement le peine? Pourquoi, mais pourquoi bon dieux vous foutez vous de moi ? Cette enfant ici présente, ma sœur, était une des plus dévouées de vos croyantes, sa mère l'est également ! Ne les avez vous donc jamais vu passer des nuits dehors sous la neige pour vous veiller et vous ramener du gibier ? J'avais envie de hurler et de pleurer, de planter mes crocs dans ces vieillards en poussière d'étoiles, de les déchirer et de les insulter. Pourquoi pourquoi pourquoi ? Je gémis et le souffle de ma sœur se faisait plus court, son corps tremblait et elle essaya de remuer.

      « ... J-je suis .. heureuse d'a-avoir pu .. te revoir, Co.. Corbac .. » Un sourit tira ses lèvres, je ne savais pas vraiment si il m'était destiné car ses yeux étaient déjà au loin.« ... T'en f-f-ais pas .. Ils .. Ils v-vont prendre .. soin de m-moi ... »

      Je serras les dents. Même dans la douleur, dans la souffrance, elle pensait à eux. Même dans la mort. La mort. La mort. La mort. Oh, elle allait mourir ? Je réalisa que ce qui se passa était réel. Il essaya de la retenir, mais déjà, il sentait son corps se refroidir, il la frotta plus activement, ça aurait même pu être douleur si elle sentait encore la douleur- et lui parla fermement.

      « ...Ma .. Mamaan.. p-prends ..soin de.. de m-ma ... »

      Son corps se tendit, tressailli et se reposa, une dernière fois, sur le sol froid imbibé de rouge. Je me laissa glisser en arrière. A ce moment là, je n'ai ni hurlé, ni pleuré. J'ai juste regardé, hébété et puis j'ai essayé de la réveiller, comme un chaton qui ne comprend pas ce que c'est la mort. Pendant des heures j'ai essayé. Et le froid a engourdis mes pattes. Je me sentais vide, j'étais vide. Dépassé, voilà, j'étais dépassé par tout ça. Subitement, la vie venait de changer ? Subitement, alors que tout allait bien. C'est ainsi que vous récompensez vos croyants ? Je ne pu rien faire, mon souffle sembla s'être coincé dans ma gorge.

      ***

      Sa mine réjouie s'effaça pour laisser place à un mal sans fin, et à une incompréhension qui dépassait l'entendement. Elle poussa un cri et s'élança récupérer le cadavre que je portais sur mon dos pour le lécher, le pleurer, le humer, le veiller comme une mère devait le faire. J'ai remercié ma mère de ne rien avoir dit. Je pense que j'aurais explosé si un quel compte mot avait franchi tes lèvres. Lorsque tu m'as vu, ton regard est passé à travers moi. J'étais effrayé de ce que tu allais dire, alors, je t'ai laissé. J'ai jeté avec haine l'aigle sur le tas de viande. Je l'avais ramené, après tout, tu t'étais battu pour ça. Et puis j'ai fui, comme un lâche, j'ai laissé ma mère avec sa douleur, ses gémissements et ses plainte -envers les Astres-. J'ai fui pour aller me réfugier dans le sommeil que je n'ai pas quitté pendant quelques jours. Ta disparition creusait petit à petit en moi. Tu me manquais déjà, et je te revoyais, assise au dessus de la tanière, me sautant sur le dos. Je sombra.

      Lorsque j'ouvris les yeux, ma mère, morne, terne, était allongée en face de moi, ma sœur avait disparu et j'imagina qu'elle l'avait enterré. Je n'osa pas demander. Un silence pesant s'installa et ma mère me lança un campagnol après comme ordre de le manger. Je le fis sans répondre. La vie reprit son cours et nous fîmes comme si nous ne t'avions jamais connu. Ma mère devient cette fois ci une vieille chatte qui n'a plus le reflet vif dans les yeux. Non maintenant elle semble juste perdue, régulièrement. Se remet-elle en question ou accuse t-elle Envol de n'avoir pas assez cru ? Les années ont alors passées, toujours dans ce silence quotidien. Je me suis souvent demandé, si j'avais préféré mentir à ma mère, si je lui avais dit que Envol voulait vivre sa vie seule dans les plaines, cela aurait-il été mieux ? La fatigue tournait et ma mère se retira également pour rejoindre les Astres où j'espérais qu'Envol si trouvait. Plus rien ne me retenait ici, dans ces grandes montagnes du nord et je pris donc le chemin du voyage vers des terres inconnues. J'avais alors 4 saisons et quelques lunes.

      Et lorsque je marcha dans la neige descendant vers les plateaux et les forêts, je cru sentir, pour la première fois, le froid s'incruster entre mes poils, me glacer la peau et les yeux, m'étouffer, m'enrouler, se retirer et revenir. Je me sentais terriblement seul.

      ∾ Caractère


        Corbeau recherche la simplicité, la discrétion, l'oubli. C'est un chat qui ne veut pas être reconnu comme chef ou créateur, juste comme un pauvre solitaire anodin. Un voyageur silencieux. Cependant, il n'est pas dénué de vie. Ça, pour être vivant, il l'est, et il le montre. Sournois, farceur et espiègle, le matou est digne d'un chaton et passe ses journées à flâner dehors pour chercher des jeux divertissants. Il est capable de bondir sur des papillons et de finir au pôle sud sans comprendre pour quoi. Danse des Corbeaux, en plus d'être un enfant à un sens déplorable de l'orientation et un flair affreux ! Ne comptez pas sur lui pour vous aider si vous êtes perdu .. Enfin si, il vous aidera, pour sur, mais en vous paumant encore plus que vous ne l'étiez. Seules ses oreilles et ses sensations l'aident vraiment à se retrouver. Alors, que préférez-vous ?

        Danse des Corbeaux est chat attentionné, prévenant et respectueux. Il appuie fortement sur la politesse et le respect des lois, quitte à faire la morale à quelqu'un pendant une journée entière. Il est assez protecteur envers les femelles (mais il ne les prend pas pour des faibles, loin de là) étant donné qu'il a passé toute son enfance en compagnie de deux chattes, et voue un certain culte aux mâles qu'il admire. Les fauteurs de troubles l'irrite et il n'hésite pas à le faire remarquer.

        Danse des Corbeaux n'est pas un chat que l'on qualifie de méchant. Ce n'est pas un ange non plus mais il ne voit pas l'intérêt de faire du mal aux gens si l'on ne se trouve pas en danger. Il s'agit juste d'un chat qui n'a rien à faire de sa vie, qui s'ennuie et qui trouve des occupations dans tout et rien. C'est un grand joueur et apparaitre idiot et lent à la détente pour taquiner les nerfs de deux trois personnes le rendra vraiment très content. Malgré son attirance pour la bêtise, il ne s'agit pas juste d'un chat qui a de l'humour, il peut être doté d'un calme étonnant et son sang-froid est à tout épreuve. Il apprécie le silence et préfère observer que parler, car oui, joyeux ne veut pas forcément dire hystérique, il sait se tenir.

        Ce chat là ne parle jamais de lui, ou alors, jamais de son passé. C'est fini, c'est bouclé, il parle de l'instant présent, celui qu'il vit. Il met un point d'honneur à ne pas encombrer les autres chats de ses histoires personnelles. A quoi cela sert-il de perturber, d'énerver, d'occuper quelqu'un qui n'en a peut être rien à faire ? Mieux vaut dire ce que tous le monde veut entendre "Je vais bien, viens on joue !" n'est-ce pas ? Danse des Corbeaux pense ainsi, et il est heureux pour cela. Il vit et il veut voir les autres vivre, il ne veut pas s'attacher, juste faire des rencontres, dire n'importe quoi, suivre, embêter, faire la morale et joueur pour être sûr que l'autre repartira le moral remonté. Il ne sert pas vraiment à grand chose, qu'il soit là ou qu'il n'y soit pas ne fait de grande différence, mais ça compte pour lui.

        C'est pourquoi, Danse des Corbeaux n'hésite pas à mentir si cela s'impose à lui. Un mensonge vaut parfois mieux que la vérité et cela ne sert à rien de remuer encore plus l'âme de son opposant. Il arrive parfois que certains chats n'apprécient pas son caractère jovial et le lui reprochent "Pourquoi tu fais ça ? Ca te regarde pas ! Dégage, Voyageur !" Pourquoi hm ? Et bien il ne le sait pas. Peut-être pour son propre confort ?


      ∾ Physique

        Danse des Corbeaux est un chat de taille moyenne à la carrure de mâle plutôt fine et élancée. Étant un chat des montagnes, ses muscles sont longs, lui permettant une magnifique détente lors de ses sauts. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, il n'est pas très vif, toutes ses chasses reposent sur son agilité. Il excelle sur les actions rapides; il n'a aucune d'endurance. Il a de drôles de manières; un accent roque et grave des montagnes, une odeur de roche et de terre et la fâcheuse habitude d'incliner la tête et le buste en signe de respect.

        Côté apparence, Danse des Corbeaux a des poils mi-longs quelque peu épais qu'il entretient avec soin. Ils lui offrent une parfaite protection contre le froid, c'est pour quoi il supporte difficilement les fortes chaleurs. Son pelage est d'un gris cendré agréable qui n'agresse pas les yeux. Il possède une fourrure légèrement tigré de noir. Sa tête, son dos, sa queue touffue et ses pattes sont de cette même couleur foncée qui prend parfois des reflets roux au soleil. Le poils de ses oreilles est clair et il bique de façon originale. Sa truffe et ses moustaches sont aussi noires que le museau. Danse des Corbeaux a de grands yeux d'un jaune pâle, aux reflets joyeux et espiègles.

        Danse des Corbeaux a quelques signes distinctifs qui rappellent qu'il s'agit également d'un matou brave qui n'hésite pas à se battre; son oreille droite est coupée à deux reprises sur le dessus, une entaille foncée lui barre le museau et trois cicatrices la paupière. Heureusement pour lui, son œil n'a rien eu. Ses pattes, si attention est portée, portent plus de cicatrice que le reste de son corps, du à ses chasses à l'aigle. Danse des Corbeaux parait être un chat d'abord assez anodin, qui se fond dans la masse, mais si l'on regarde bien, on peut voir que son éducation n'est pas la même que celle des chats des forêts.

        Pour résumer, Danse des Corbeaux est un chat relativement simple et discret.

        Référence de Danse des Corbeaux:


      ∾ Rêve

        Danse des Corbeaux n'a pas d'ambitions particulières, il vit juste pour vivre et savoure l'instant présent. Cela le trouble parfois de ne pas avoir de rêve personnel, de ne pas avoir "cette chose" qui pousse les gens à se battre. Il préfère aider que réfléchir à un but. Mais si c'était cela son désir le plus profond ? Juste aider.


      ∾ Crainte

        Danse des Corbeaux est quelqu'un qui réagit très bien à la surprise, il est donc effrayé par les oiseaux, bien qu'il s'agisse de son régime alimentaire principal. Il pense que ces bestioles prépares des mauvais coups, de là haut, sur leurs branches, avec leurs becs pointus et leurs yeux néants. Il n'a pas un phobie ou un vraie peur des oiseaux, puisqu'il les chasse. Il s'en méfie juste. Parce que c'est étrange. Trèèèès étrange.
        Le matou ne sait d'ailleurs pas nager, il évite donc les grandes étendues d'eaux, mais cela ne l'empêche pas d'aimer faire trempette dans les petits ruisseaux.

        Cependant, Danse des Corbeaux est un chat comme les autres qui a de vraies craintes. Car une personne sans peur n'existe pas, d'après lui. Il faut toujours se remettre en question, et savoir ses points faibles. Il a peur de s'attacher aux gens et de les perdre. C'est un sentiment qu'il devrait avoir perdu depuis le temps, mais il reste toujours enfouit, et parfois, ça lui prend les trippes. Désagréablement. Il n'y peu pourtant rien, il est obligé d'avoir des attaches avec le monde, mais ça l'effraye. Il ne veut pas se retrouver, encore, avec le corps d'une personne qui lui est cher entre les pattes. Sans comprendre. Encore, encore, encore. Comme la dernière fois.

        Pour conclure, Danse des Corbeaux ne croit pas aux Astres, au Clan des Étoiles ou à toutes autres croyances sur lesquelles se repose les autres. Il croit juste en lui, mais il ne cesse de se demander si son manque de foi l'empêchera de revoir sa sœur.

        Malgré cela, ses craintes sont vites balayées par son enthousiasme à découvrir le monde.




      ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~


      Toi (quoi mwa ?)
      _________________


      ∾ Ton Nom

        Bijour, mwa c'est Marie-Amélie, c'est long hein ? Uai mais j'ai deux fêtes ! Marie et Amélie ! Mais chez nous on fête pas les fêtes, donc ça sert à rien. Résumé : Échec. Nan mais il est bien mon nom, je trouve. *fiiiixe* Hein qu'il est bien, hein ? :3 -se prend une poutre- J'ai l'impression que je parle trop, après on se demande pourquoi je fais toujours du hs, huhu.


      ∾ Ton Âge

        On va dire 14 ans *^* -quoi, c'est bon, c'est dans deux semaines, je fais ce que je veuuux D:-


      ∾ Tes Passions


        J'adore le dessin, les techniques est tout l'reste, j'aimerais vraiment m'améliorer. Je vénère la nourriture (hmmm, la nourrituuure :coaddy: ), les n'animaux, le sport (j'fais de l'équitation et de natation, j'aimerais bien faire du jujitsu), la lectuuuure (j'adore "Le Passeur", "Fahrenheit 451" et "Sa majesté des Mouches" et puis "LGDC" aussi ahah) J'aime vraiment les animes et les mangas, la culture japonaise et les langues ! J'ai pris Russe au lycée, ahaha je vais mourir -pleure- Mais ça va être drôle, 'fin bon. J'aime collectionner les p'tits trucs qui servent à rien qu'on trouve par terre genre clous, morceaux de carreaux, cailloux, et p'tites figurines ... Je suis paresseuse mais j'aime tout faire en même temps pwp Je suis bordélique comme pas possible et je sais pas ranger, pour dire, ma meilleure amie m'a offert une poubelle y a deux ans. J'ai le syndrome de "l'amour mortel", mes personnages préférés meurent toujous, partout ;w; Que ce soit dans les films, la télé', les livres, les animes. Aaah malheur. J'ai des rhumatismes de fou et les vertèbres lombaires soudées. Résumé, je suis une vieille planche de bois qui craque dans tous les sens avant l'âge et qui a une souplesse de marbre, huhu. J'aime le yaoi et les yuris, je bannis les lolicons de ma vie. 4chan et Da c'est chouette. J'adore la peinture et les tableauux ! JE SUIS UNE FAN DES GHIBLIIS :tamtadam: Vive Miyazaki, son fils et les autres auteurs ! Et euh j'aime manger -on sait- et jouer. Ah, j'habite en campagne ! Ducoup il y a pas de réseau chez moi, et c'est un coin paumé entre des chèvres, des vaches, des chevaux, des moutons, une rivière et une forêt. C'est la foliiiiie :OMG: J'aime les smileys en tout genre, par exemple, ça °n°, c'est une grenouille blasée écrasée. J'aime bien dire des trucs inutiles aussi, huhu, parce que ça sert à rien p__p

        Bon, je m'étale dans les détails là :v:


      ∾ Ton Surnom

        Zeït, Marry, Ecu', Corbac et puis soyons fous appelez moi comme vous voulez pwp


      ∾ Fille ou Garçon

        Demoiselle Moquette Verte siouplait :watt:




      ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~



      Concernant le Forum
      ________________________


      ∾ Combien as-tu de personnages ?

        Seulement l'noireau d'Corbeau ! Si je compte bien je crois que ça fait 52 .. Ou 1, je sais plus


      ∾ Comment trouves-tu ce forum ?

        Convivial pour ce que j'ai vu sur la ChatBox (et c'est ce que je cherche donc ça tombe bien), avec un contexte intéressant et des couleurs joliiiiies ! Ah aussi, aussi ! C'est absolument SUPER les cartes du territoire, bravo, bravo ùwù


      ∾ Code du Règlement

        Code dans la cave de Corn ♫


      ∾ Sur combien de RPG es-tu inscrit(e) ?

        En ce moment .. Aucun :ahah: J'viens de faire une pose d'un peu plus d'deux ans en Rp, mais avant j'avais un forum, et hm, j'étais aussi sur deux trois forums, peunays, loups, chaaaats


      ∾ Comment as-tu découvert le forum ?

        Par un Top-site LGDC



      ∾ Souhaites-tu un parrain pour t'aider à faire les premiers pas sur ce forum RPG ?

        Uaah c'est classe ça ! Mais non merci je vais me débrouiller toute seule ~


      ∾ Autre chose à dire ?

        Elle est chouette la bannière et j'ai mis trois ans à trouver les codes (et à l'envers en plus :v: ) Et MERCI de m'avoir redonné envie de Rp *^* J'vais essayer d'fair de mon miiiieux -couine-





      Codage par Graffitti pour 123 ∾




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